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Séminaire
construit en 1827; plus bel exemple de l'architecture conventuelle
du Québec. Aujourd'hui Institut de police, il fut très
endommagé par un incendie en 1973. L'auteur y fit ses
études et y écrivit une partie de Les cris.
Son père, son grand-père et son arrière
grand-père enseignèrent la musique dans ce séminaire.
Pierre Chatillon a fait de son grand-père, en le rebaptisant
«père Papillon», l'un des plus émouvants
personnages de son roman La mort rousse. |
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Pierre
Chatillon évoque souvent le parc où la fanfare,
dirigée par son père, donnait, dans un kiosque,
des concerts estivaux. Ce parc, qui a disparu, se trouvait
à l'emplacement de l'actuel Hôtel de ville.
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Pont
du chemin de fer, dit «pont des chars», qui franchit
la rivière et où Rosaire Bellemare, dans le
roman Le fou, trouve une fin tragique. L'arche qui
enjambait la rue Notre-Dame, et du haut de laquelle Rosaire
tenta de s'envoler grâce à des ailes de carton,
a été démolie. |
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