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12.
Bas-de-la-rivière
Puis on passe par la zone appelée Bas-de-la-rivière
où l'on peut tenter de voir, avec les yeux du coeur,
la maison du héros. Cette zone est également
décrite dans «Le goéland blessé»,
nouvelle de L'enfance est une île, et dans «Paradis»,
nouvelle de L'atlantidien. La rivière est particulièrement
belle à cet endroit et a inspiré à l'auteur
plusieurs poèmes comme «Tu nages nue dans
la rivière» (L'ombre d'or); «L'été»
et «Pendant ton sommeil» (Le violon
soleil); et «Poète géant / j'étreins
dans mes bras la rivière» (La porte du
soleil).
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